4 D
- J’avais prévu de lire ce livre, ce week-end. Samedi à 14 h précise, j’ai ouvert mon livre pensant faire une lecture rapide (vu la taille du livre), mais ça ne s’est pas passé comme prévu car les textes étaient compliqués.
- La conclusion finale « On ne t’offre pas une montre, c’est toi le cadeau » m’a fait réfléchir sur notre manière de voir une montre au poignet de quelqu’un ou une montre tout court.
- Cette phrase « Il est tard, mais moins tard pour moi que pour les Fameux. » prouve pour moi que le temps est relatif, mais dans cette histoire, le Cronope est triste de cet écart de 5 minutes et va, au final, se retrouver dans un café à tremper des toasts dans ses larmes naturelles.
- En lisant ces pages, plus précisément dans le Manuel d’Instructions, j’ai eu de la remise en question. C’est vrai : après avoir fini l’école, les journées vont toutes se ressembler. Les mêmes personnes à qui on parle, la même routine de se lever à 6 h et se coucher à 22 h, ça donne pas envie.
- En vrai, le livre est un peu ennuyant, mais il fait réfléchir et chacun peut l’interpréter comme il veut.
- Dans le texte de la page 139, Eugénésie, je n’ai pas compris pourquoi les Cronopes ne veulent pas d’enfants, hors que le Fameux, si.
- Se battre contre la flemme pour faire quelque chose qu’on n’avait déjà pas envie de faire, c’est vraiment un grand et long combat.
- Pourquoi ces mots-là et pas des autres ? Cela nous donne aussi envie de se poser et de se questionner sur nous-mêmes, sur les autres, sur nos manières de faire, nos habitudes, etc.
- Les sentiments que j’ai eus en lisant ce livre sont assez bizarres, car des fois le livre n’avait pas trop de sens dans les titres ou même les textes, ce qui fait que j’étais perdu. Parfois le titre était tellement simple que ça faisait réfléchir.
- Ce n’est pas ce genre de livre qui me donne envie de lire. Je lis plutôt de la romance.
- C’est comme s’il était dans le désordre et j’ai du mal avec le désordre. J’avais l’impression de me perdre dans le livre, je pensais que je n’arrivais plus à déchiffrer les mots, c’était comme un labyrinthe.
- Ce qui s’avérait être simple (lire 25 pages) fut le contraire.
- Mon sentiment sur cette partie est confus.
- On pourra ressentir divers sentiments en le lisant, car, dans les textes, on pourra ressentir des choses dans lesquelles on se reflète, on se reconnaît à travers ce que l’auteur veut exprimer, et cela va donc nous procurer certaines émotions et faire imerger (sic) certains souvenirs lointains dont nous-mêmes ne nous souvenons plus.
- J’ai eu l’impression que rien n’avait du sens.
- Je n’aime pas sa manière de changer de sujet, je la trouve trop brutale. Il ne l’introduit pas avant d’entrer dans le vif du sujet.
- J’ai compris que les cafards ne savent pas se relever quand ils sont sur le dos et que c’est à cause de ça qu’elle a peur que personne ne l’aide.
- On dirait de la poésie ou de la philosophie, ça dépend, avec un langage soutenu.
- D’après « Les joies des Cronopes », si j’ai bien compris, les Cronopes sont supérieurs aux Fameux.
4 B
- « Instruction pour chanter » se concentre sur des perceptions et sur les émotions, là où les autres textes, comme « Instruction pour pleurer », citent des actions et des faits, et se concentrent sur ce qui se passe physiquement.
- D’ailleurs, l’humour est si subtil que je prends plaisir à tout lire. Comme si le texte était lui-même une blague… alors que celui-ci est très similaire à nos esprits paradoxalement.
- Ce livre est une expérience assez hors du commun. (…) Je recommande ce livre à quiconque voudrait lire quelque chose d’unique et de spécial.
- D’après ce que j’ai compris, c’est une personne qui serait prête jusqu’à démonter la tuyauterie d’un appartement entier juste pour récupérer un cheveu. Serait-ce une métaphore pour montrer que certaines personnes seraient prêtes à faire n’importe quoi pour la plus simple des choses ?
- J’ai globalement eu un sentiment de mystère et d’étonnement : voir le monde tout à fait différent de comment nous le voyons. (…) Il faut essayer de rentrer dans son monde, mais si on n’y arrive pas, bonjour !
- Alors oui, il y a des histoires que j’ai comprises, mais il reste quand même le doute : « est-ce que j’ai vraiment compris ou je pense avoir compris ? »
- Ce qui m’a plu, c’est le fait que si l’on comprend tous le mots, les textes sont beaux avec une belle histoire. Une chose que j’ai remarqué, c’est qu’il n’y a pas de dialogue.
- On devient dépendant de cette montre (…) Si on fait le lien avec d’autres objets, on découvre qu’on est dépendant à plein de choses : nos vêtements, nos clés, etc. (…) Comme le texte le dit, nous sommes offerts à nos objets du quotidien. C’est-à-dire que c’est l’objet qui contrôle nos vies, nos émotions, notre stress sans qu’on s’en rende compte et sans qu’on puisse faire quoi que ce soit à part vivre.
- Tout peut basculer d’une phrase à l’autre.
- J’avais une certaine facilité à me représenter les scènes dans ma tête.
- Impression que l’auteur écrit tout ce qui lui passe par la tête. (…) Dans ce livre se trouvent plusieurs livres.
- On essaye de comprendre.
- Au fil de la lecture, j’ai été trop enveloppé dans la sensation de ne pas comprendre les phrases, ce qui donne un sentiment assez désagréable.
- C’est là que les vrais sujets dont parle le livre se sont révélés, des sujets dissimulés traitant de la vie menée par certains que d’autres peineraient à croire.
- Cette situation me convient car il m’est arrivé la même chose dans ma vie, sauf qu’elles se sont cassées et que mes lunettes n’étaient tombées qu’une fois. Voilà comment ça conclut avec ma petite histoire en rapport avec « Histoire véridique ».
- On ne connaît pas la signification de tous les mots tels que Cronopes, Fameux. On peut déduire ce que ces mots « désignent », mais nous n’en sommes pas pour autant sûrs à 100 %.
- Est-ce possible de ramollir une brique ? (…) Sommes-nous plutôt Cronopes ou plutôt Fameux ? Je ne le sais toujours pas. (…) Certaines choses ne seront jamais éclaircies totalement.
- De plus, c’est assez difficile à comprendre, ce livre nous demande beaucoup de réflexion, trop selon moi.
- C’est le fait que ce soit des instructions pour faire des choses courantes qui me perturbe.
- Je n’ai jamais vu d’autres auteurs écrire un livre comme ça.
- J’ai bien aimé le style, la manière dont l’auteur a écrit ; il y avait du langage soutenu, mais aussi un langage plus familier pour varier les plaisirs sûrement.
- Ce qui m’a plu, c’est qu’il y a une morale. Des fois on parvient à la trouver tout de suite et parfois, je dois relire le texte deux à trois fois pour vraiment bien comprendre ce qui s’y cache derrière.
- On ne sait pas qui ou quoi sont les Cronopes et les Fameux, mais on a de la compassion (des sentiments) envers eux.
- Parfois pleurer ne dure pas seulement trois minutes, des fois certaines personnes pleurent sans savoir s’arrêter jusqu’à l’épuisement des larmes.
- Je n’ai pas très bien compris le mystère de « Histoire véridique » quand à la fin se produit seulement le « vrai miracle » pour l’auteur, pour moi, se produit en fin le moment de malheur.
- Pour ma part, je fais partie de ces Fameux qui conservent leur souvenir dans un drap noir.
- Pour revenir au chapitre « Instruction pour pleurer », ça me semble impossible, car on ne peut pas provoquer des émotions.
- « Simulacres » : j’ai bien aimé ce texte, car j’ai eu l’impression que le négatif est devenu positif et inversement.
- (…) puis il ne peut plus retirer ses doigts de la patte à cause du sucre et c’est donc à ce moment que j’ai compris.
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